Sur des ailes suisses jusqu’au royaume des ours polaires | Polarjournal
Pour découvrir le monde merveilleux de l’Arctique, au Svalbard, entre terre et mer, il faut d’abord passer par les airs, mais les expériences vécues au royaume des morses et des ours polaires en valent la peine. Image : Michael Wenger

L’interruption des voyages vers le Svalbard et d’autres régions du monde, ces dernières années, se fait encore sentir aujourd’hui. Le manque de personnel au sol et dans les airs, la surcharge de travail des employés restants et les retards, les annulations et même les grèves qui en ont résulté sont relayés par la presse toutes les semaines. Les vols de ligne vers le Grand Nord n’y échappent pas. Il existe cependant une autre solution, plus confortable, comme le montre un voyagiste suisse.

Le Svalbard – ou l’archipel du Svalbard -, est l’endroit le plus proche et le plus approprié pour les Européens centraux pour s’immerger dans le monde arctique. À peine 6 à 7 heures de vol et on pourrait déjà être au seuil du royaume des ours polaires et des morses. Mais les choses ne sont pas si simples. Si l’on mise sur des vols de ligne, il faut d’abord se rendre de Zurich à Oslo, puis prendre un vol via Tromsø ou directement vers Longyearbyen. Théoriquement, cela pourrait se faire en une journée, mais c’est en réalité plutôt deux, voire trois jours, si l’on veut voir Oslo d’un peu plus près… ou si l’on est obligé de le faire. En effet, les vols vers cette région du Haut-Arctique administrée par la Norvège sont peu nombreux et relativement fréquentés, surtout à partir du printemps, car le Svalbard est une destination touristique en plein essor. Si l’on ajoute à cela les annulations de vols dues aux problèmes les plus divers, il s’avère qu’un voyage d’expédition au Svalbard ou au Spitzberg commence dans les contrées civilisées, à la maison.

Un vol direct de Zurich à Longyearbyen n’est possible que par un vol charter. Plus simple et plus confortable, il est surtout plus économique et écologique. Image : avec l’aimable autorisation de Kontiki Reisen

Une telle entrée en matière peut plaire à certains, mais la plupart des voyageurs souhaitent plutôt arriver à bord du bateau d’expédition sans problème ni stress, dans le confort, soi-même avec ses bagages et de plus en plus, voler avec le moins d’impact possible sur l’environnement, soucieux du rendement énergétique et des compensations carbone. Combiner tout cela est tout à fait possible avec l’affrètement d’avions et aussi de bateaux. Kontiki Reisen, le leader du marché suisse des voyages dans le Nord, l’a compris depuis longtemps. Il est le seul voyagiste suisse à proposer des vols directs de Zurich à Longyearbyen, à condition d’effectuer en même temps le voyage à bord de l’un des navires d’expédition qu’il a réservés, comme le Hondius ou le Sea Spirit. En collaboration avec la compagnie aérienne suisse Edelweiss, Kontiki Reisen envoie ses clients à Longyearbyen et les ramène de la même manière.

Cette année, l’entreprise organise trois voyages au Svalbard : pour chacun d’eux, un navire d’expédition de petite ou moyenne taille, armé par des Français et des Allemands est affrété. Et à chaque fois, les groupes sont accompagnés du début à la fin par des expertes et des experts, que ce soit dans l’avion ou au milieu de la toundra. Car les informations sont essentielles et font vraiment de ce voyage une expérience qui reste gravée dans la mémoire, avec une vie à bord très confortable, des conférences passionnantes et des excursions dans le monde fascinant du Svalbard.

Découvrir les glaciers et les parallèles existant entre ce monde et celui d’où l’on vient peut être révélateur. C’est ce que des prestataires comme Kontiki Voyages proposent en employant des experts capables de l’expliquer. Photo : Michael Wenger

D’une part, l’affrètement complet de l’avion et du bateau représente un risque économique, car les places doivent être vendues et, pour le Svalbard en particulier, il existe aujourd’hui une offre importante, y compris de la part d’autres voyagistes. Mais d’un autre côté, l’affrètement d’avions complets permet d’offrir aux clients une liaison plus agréable vers le Grand Nord, et plus judicieuse du point de vue environnemental. En effet, au lieu d’effectuer deux ou trois vols jusqu’au chef-lieu du Svalbard, on ne fait qu’un seul, et ce avec un avion moderne, peu gourmand en énergie. Tous les hôtes du même bateau prennent le même avion. Il n’y a pas d’invités supplémentaires venant d’autres régions du monde pour les voyages exclusifs en charter, ce qui permet d’éviter les vols d’approche plus longs. Cela réduit les émissions de CO2 et préserve l’environnement, un aspect auquel Kontiki attache beaucoup d’importance. Ce n’est pas pour rien que l’entreprise porte depuis 2013 le label « TourCert », une distinction du secteur du voyage pour la responsabilité d’entreprise et la durabilité.

Ces vols et ces croisières charters portent également une « Swiss Touch », avec des hôtes de Suisse romande et de Suisse alémanique. Les équipes d’expédition et le personnel du bateau apportent toutefois une touche internationale, car à bord, c’est une grande famille partagant une chose en commun : l’amour et la fascination pour l’Arctique.

Cet article sponsorisé est publié dans le cadre d’un partenariat entre PolarJournal et Kontiki Reisen.

Lien vers les offres de voyage de Kontiki Reisen vers le Svalbard

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