En Antarctique, les calandres représentent 90 % des populations de poissons et en plus d’être au cœur de la chaîne alimentaire, elles pondent, ce qui profite à toute la colonne d’eau et les fonds du plateau continental. Une facette importante du cycle du carbone et de la stabilité du climat.
Les scientifiques de l’Antarctique, à court d’argent, sont confrontés à des défis « inimaginables », qu’il s’agisse de prélever un virus mortel sur de la glace flottante ou de lutter contre une menace « climatique » qui pourrait tuer des millions d’animaux sauvages, voire d’êtres humains. Malgré les appels à l’aide internationale, les 29 États qui se réuniront en Inde le mois prochain restent retranchés dans le secret de l’époque de la guerre froide.
Les deux espèces de manchots les plus communes de l’archipel de Géorgie du Sud viennent de montrer des signes de faiblesse face au virus de la grippe aviaire.
Annoncée pour la première fois au printemps dernier, la grippe aviaire touche désormais cinq des 14 espèces testées en Géorgie du Sud. Quelques cas suspects près de la péninsule Antarctique laisse présager l’expansion de la maladie.
Les éléphants de mer du sud ne jeûnent pas complètement pendant la période de mue drastique, mais ils peuvent très bien aller dans l’eau, boire et peut-être même chasser, contrairement à ce qui a été établi jusqu’à présent.
Une toute nouvelle étude montre que les jeunes gorfous macaronis parcourent plus de 2 500 kilomètres jusqu’à la banquise antarctique pour trouver leur nourriture préférée.
Lorsqu’ils sont en mer, les éléphants de mer font de profondes plongées pour dormir et ne dorment pas plus de deux heures par jour.
Le fer est un élément extrêmement important qui colore notre sang en rouge et maintient le système immunitaire en pleine forme. Mais l’homme n’est pas le seul à avoir besoin de fer, l’océan en a également besoin.
Près de 60% de la population de manchots à jugulaire se reproduit sur la péninsule antarctique et les îles voisines et connaît un déclin dramatique.
Le krill est l’une des espèces-clés de l’écosystème fragile de l’Antarctique. Ces petits crustacés constituent à plus de 90% la principale source de nourriture des baleines, manchots et phoques qui y vivent.
Une étude montre que les petits rorquals de l’Antarctique ne peuvent pas devenir plus petits par rapport à leur stratégie alimentaire, sous peine de mourir de faim.
Le virus H5N1 hautement pathogène est en train de progresser vers le sud et n’est plus très loin de l’Antarctique.
Le service vétérinaire des îles Malouines a annoncé la semaine dernière que le virus de la variole aviaire s’était déclaré dans une colonie.
Dans le cadre du projet « Wildlife from Space », des chercheurs ont découvert, sur des images satellite, une colonie de manchots empereurs jusqu’alors inconnue en Antarctique occidental.
Une étude scientifique a voulu se consacrer aux habitudes de plongée et de repos du phoque de Ross, rarement étudié, et a finalement trouvé plus de questions que de réponses.
