Pour son budget 2024-2026, le gouvernement russe propose de réduire les fonds pour la construction du brise-glace nucléaire superpuissant « Lider ». Il sera construit sur le chantier naval de Zvezda.
Le Twin Otter est un avion extrêmement polyvalent capable d’opérer dans les conditions les plus difficiles. Le Twin Otter est régulièrement utilisé dans l’Antarctique.
En raison des sanctions occidentales, la Russie s’est davantage concentrée sur les livraisons aux clients asiatiques. De plus en plus de bateaux sans certification glace sont utilisés à cet effet.
Bientôt un vol charter vers le Svalbard avec des touristes de Russie. C’est ce qu’affirme Ildar Neverov, directeur général d’Arktikugol. Le ministère norvégien des Affaires étrangères s’y oppose.
Le manque de navires de classe glace réduit le développement de la Route de la mer du Nord (NSR). Les chantiers navals indiens et chinois souhaitent s’engouffrer dans la brèche et construire des navires.
La compagnie aérienne australienne Rex Airlines se montre ambitieuse et envisage de devenir le prochain opérateur de vols pour la division antarctique australienne, comme l’indique un communiqué de presse.
Arctic Umiaq Line, une compagnie de transport de passagers groenlandaise, et Hurtigruten souhaitent s’associer pour promouvoir la croissance et les opportunités du secteur touristique groenlandais.
La navigation dans les glaces de l’Arctique change à mesure que le climat et la mer se réchauffent, si bien que de nouvelles opportunités commerciales perturbent l’équilibre économique mondial.
Les ambitions de la Chine dans les régions polaires sont encore renforcées par le lancement de la construction du troisième navire de type polaire, qui portera également des submersibles de haute mer.
Le gouvernement russe a élargi la liste des ports maritimes ouverts aux navires étrangers. L’objectif est de faire de la région de Tiksi un important centre de transbordement.
Les croisières sont en plein essor, en particulier les voyages vers l’Antarctique. Afin de conserver la position de leader pour les voyages en Antarctique, le port d’Ushuaia doit être agrandi.
Cet été promet d’être chaud pour le trafic aérien du Groenland avec des menaces de grève et des problèmes dans la construction de l’aéroport d’Ilulissat.
Les Inuit joueront un rôle clé dans une initiative fédérale qui vient d’obtenir un financement de C$ 91.6 millions et qui vise à réduire l’impact du transport maritime dans l’Arctique canadien.
Un nouveau navire de recherche portera le nom du célèbre explorateur polaire Ivan Frolov. Il sera construit à Saint-Pétersbourg dans le chantier naval de l’Amirauté et devrait être mis en service en 2028.
Les routes maritimes qui s’ouvrent à travers l’Arctique permettent de gagner du temps et de l’argent, mais les brouillards de plus en plus fréquents dus à la perte de glace de mer ralentissent la progression.
Les sanctions ont interdit l’importation de pétrole russe de l’Arctique vers l’espace de l’UE. La Chine et l’Inde s’engouffrent désormais dans la brèche, mais cela signifie des transports plus difficiles.
Le conflit en Ukraine tend la situation politique et économique de l’Arctique russe, et le rêve d’une circulation libre, été comme hiver, sur la Route maritime du Nord, a toutes les chances d’en rester un.
Depuis un certain temps déjà, des rumeurs circulent selon lesquelles la société russe Rosatomflot qui exploite des brise-glaces nucléaires aurait besoin de nouvelles unités. Ce n’est que récemment que les contrats pour deux autres navires ont été signés.
Le Cap est, avec Punta Arenas, Ushuaia, Hobart et Christchurch, l’une des cinq villes par lesquelles transite la quasi-totalité du transport de fret et de personnel vers l’Antarctique.
La compagnie aérienne groenlandaise Air Greenland n’a pas seulement reçu un nouveau vaisseau amiral, elle a également développé ses prestations pour cette année.
D’ici 2024, l’Institut de Recherche en Arctique et en Antarctique (AARI) déploiera, sur des bouées dérivantes, un réseau hydrométéorologique de haute précision dans les parties maritimes et côtières de l’Arctique russe.
Les navires de recherche britanniques bénéficient d’un booster d’un genre particulier de la part de leur gouvernement, à savoir une subvention de 50 millions d’euros pour leur entretien et leur modernisation.