Chaque printemps, les scientifiques de l’Alaska arctique tracent des routes sûres à travers la glace pour que les chasseurs locaux puissent perpétuer une tradition millénaire.
L’ours polaire dessine les contours et remplit l’Arctique de son errance, jusqu’à toucher l’imaginaire des êtres humains, qui vivent auprès d’eux. Son image est parfois utilisée à des fins plus ou moins nobles. Dans son essai en Français, Rémy Marion tente de rendre au « vagabond des glaces » sa démarche naturelle.
Le mystère de l’arrivée des traîneaux à chiens au Groenland devrait être percé par Emma Vitale qui définit une méthodologie, dans une étude publiée récemment, afin d’améliorer l’interprétation des objets trouvés lors de fouilles archéologiques liées à ce moyen de transport.
Un inventaire des projets de toponymie est désormais accessible en ligne sous forme de carte interactive. Un outil qui peut s’avérer autant utile au monde scientifique qu’aux communautés autochtones.
Une série de portraits des officiers de l’expédition Franklin fait l’objet d’une mise aux enchères. La collection de daguerréotypes, que l’on croyait perdus, est estimée à plus de 150 000 £.
Dans les années 1970, le géographe Bent Hasholt souhaitait mener des recherches utiles à la société. Il a donc commencé à calculer les précipitations pendant son temps libre.
Des ateliers de dessin au Groenland permettent aux gens de raconter leur propre histoire aux historiens. Il en résulte une image plus détaillée du passé
Le travail du cartographe flamand, Gerardus Mercator, a contribué à façonner la vision du monde, mais aussi celle de la région arctique pendant de nombreux siècles et pour de nombreux et célèbres explorateurs arctiques.
Il y a plus de 50 ans, l’ex Union soviétique lâchait des crabes géants dans la mer de Barents pour aider les pêcheurs locaux, intervenant ainsi massivement dans l’écosystème.
Le travail de terrain prévu cette année sur les épaves du HMS Terror et du HMS Erebus a été reporté à l’été 2022 en raison de la pandémie de coronavirus.