Vous ne le pensez peut-être pas, mais le Groenland a beaucoup en commun avec les îles Cook. C’est peut-être la raison pour laquelle l’une des choses qu’elles ne partagent pas est examinée de si près au Groenland, qui progresse vers l’indépendance vis-à-vis du Danemark
Une réunion spéciale se tient au Chili cette semaine pour tenter de sortir de l’impasse dans laquelle se trouve depuis près de deux décennies la question d’une zone marine protégée dans l’est de l’Antarctique. Pour parvenir à un accord, il faudra obtenir l’adhésion de la Chine et de la Russie.
Que ce soit à Bonn ou à Dubaï, le thermomètre indique « chaud », non seulement en ce qui concerne les températures, mais aussi les thèmes, selon le Dr Irene Quaile, qui s’est rendue sur place.
Le gouvernement russe a élargi la liste des ports maritimes ouverts aux navires étrangers. L’objectif est de faire de la région de Tiksi un important centre de transbordement.
Selon l’agence de presse iranienne Tasnim, la marine iranienne a annoncé des projets visant à envoyer pour la première fois et dans un « avenir proche » une partie de sa marine en Antarctique.
Il appartient désormais aux États américains de déterminer comment les zones humides doivent être protégées.
NOVATEK a cherché des solutions, l’entreprise américaine Baker Hughes refusant de fournir les turbines à gaz nécessaires à la liquéfaction du gaz.
Les petites îles et les pays de faible altitude menacés par l’élévation du niveau de la mer, participent actuellement à la réunion consultative du traité sur l’Antarctique à Helsinki, afin d’appeler à une action immédiate pour éviter une catastrophe imminente.
La réduction de l’empreinte carbone de la recherche en Antarctique pourrait passer par une diminution de la vitesse des navires et une coopération internationale quant à l’utilisation des moyens logistiques.
Après avoir acquis les droits d’exploitation du charbon au Spitzberg il y a plus d’un siècle, la Russie déclare qu’elle réduira la production de charbon au minimum nécessaire pour assurer l’approvisionnement du Svalbard.
La présidence du Conseil de l’Arctique a été attribuée à la Norvège, mais l’avenir de cet organisme, autrefois très apprécié, est plus incertain que jamais.
Comme le Groenland parle de plus en plus pour lui-même, la prochaine étape consistera pour ses représentants à l’assemblée nationale danoise à ne pas avoir à s’adresser à la chambre dans une langue qui n’est pas la leur.
La première tentative du Groenland de se doter d’une constitution suggère que son avenir pourrait beaucoup ressembler à son présent.
Une station scientifique internationale russe pourrait être développée au Svalbard.
Les sanctions ont interdit l’importation de pétrole russe de l’Arctique vers l’espace de l’UE. La Chine et l’Inde s’engouffrent désormais dans la brèche, mais cela signifie des transports plus difficiles.
En Russie, la pêche et la pêche sur glace sont l’un des sports populaires les plus pratiqués. Une nouvelle activité de loisirs devrait bientôt s’y ajouter : l’extraction d’or.
Le Conseil de l’Arctique basé sur des déclarations d’intention à la nature juridique souple, aussi appelé soft law, a souffert des tensions géopolitiques actuelles.
Une délégation de haut niveau du Groenland visite la Suisse afin d’approfondir la coopération dans le domaine de la protection contre les catastrophes naturelles et de la recherche.
Après une longue pause, la Norvège reprend la présidence du Conseil de l’Arctique le 11 mai et présente sa stratégie, mais la suite du parcours du Conseil reste incertaine.
Certes, aucun drapeau groenlandais ne flotte devant le quartier général, mais Nuuk et Copenhague se sont mis d’accord sur une représentante et toutes les parties s’y retrouvent au final.
Patrimoine mondial de l’UNESCO ou développement économique ou solution de compromis, telles sont les possibilités dans le litige sur le statut du fjord de glace mondialement connu d’Ilulissat.
Un peu plus d’un an après l’invasion russe de l’Ukraine, les signes de paix ne sont toujours pas au rendez-vous. La guerre est devenue un conflit de systèmes, avec des répercussions sur toute la planète, y compris sur l’Arctique.
Le gouvernement du Groenland a révisé ses dispositions relatives à la gestion des ours polaires et a publié de nouveaux règlements visant à prendre davantage en compte les besoins de toutes les parties prenantes.
Il y a un peu plus de 200 ans, l’Antarctique était une terre vierge. Aujourd’hui, le changement climatique, la pêche illégale, la pollution et les touristes pèsent sur le continent sud.
