Des géants pour surveiller l’Antarctique
A l’instar de l’albatros, le pétrel géant pourrait être utilisé pour la surveillance des pêches en Antarctique. Opportuniste, son espace vital permet de couvrir un vaste territoire.
A l’instar de l’albatros, le pétrel géant pourrait être utilisé pour la surveillance des pêches en Antarctique. Opportuniste, son espace vital permet de couvrir un vaste territoire.
Le navire, actuellement en construction, sera le premier navire de recherche brise-glace du Japon dans l’Arctique et servira de plate-forme de recherche internationale.
Une nouvelle méthode pour étudier l’extension de la banquise vient d’être développée par des chercheurs utilisant les lignes de fibre optique, une ingénieuse idée qui emploie l’existant dans une région inaccessible.
Pour réduire l’impact d’un rayonnement solaire accru sur la fonte des glaces, il faudrait assombrir la Terre, mais des chercheurs suisses mettent en garde contre cette solution.
L’océan Austral joue un rôle crucial dans le système climatique de la Terre et sa surveillance doit donc être intensifiée. C’est pourquoi, des scientifiques en discutent actuellement dans le cadre de la réunion du SOOS à Hobart, Australie.
En plein cœur de l’hiver antarctique, des scientifiques russes de la station Vostok se régalent des pastèques qu’ils sont parvenus à faire pousser.
Un drone développé en partie en Suisse peut à la fois naviguer et voler, ce qui lui permet de surveiller la faune arctique sans trop déranger.
Le suivi de l’évolution du pergélisol peut prendre des années, voire des décennies, ce qui ne permet pas de suivre les transformations de l’Arctique, qui se réchauffe rapidement. Grâce à un projet financé par Google, les scientifiques vont désormais mettre au point une nouvelle technologie permettant de suivre ces changements en temps réel.
Le 25 juillet, on apprenait que le navire de recherche « Mikhail Somov » s’était échoué près de l’archipel François-Joseph. Il ne devrait pas y avoir de risque de fuite de carburant.
La compagnie aérienne australienne Rex Airlines se montre ambitieuse et envisage de devenir le prochain opérateur de vols pour la division antarctique australienne, comme l’indique un communiqué de presse.
Les ambitions de la Chine dans les régions polaires sont encore renforcées par le lancement de la construction du troisième navire de type polaire, qui portera également des submersibles de haute mer.
Les physiciens qui ont de grands projets au pôle Sud sont mis à rude épreuve, car la National Science Foundation américaine se voit contrainte de reporter l’installation de nouveaux télescopes et de détecteurs de neutrinos en raison de problèmes d’infrastructure urgents.
Des chercheurs suisses ont découvert au Groenland, au Svalbard et dans les Alpes des micro-organismes qui produisent, même à des températures relativement fraîches, des enzymes capables de décomposer le plastique.
Une équipe de chercheurs a suivi huit rorquals communs le long de la côte du Svalbard à l’aide de câbles à fibres optiques.
Un nouveau navire de recherche portera le nom du célèbre explorateur polaire Ivan Frolov. Il sera construit à Saint-Pétersbourg dans le chantier naval de l’Amirauté et devrait être mis en service en 2028.
Un rapport publié par l’ESA indique que la perte de glace du Groenland et de l’Antarctique a quintuplé depuis les années 1990 et est responsable d’un quart de l’élévation du niveau de la mer.
La Fondation Tara Océan a annoncé le lancement de la construction de sa future station polaire un projet dans les tuyaux depuis au moins 8 ans.
Sachant que les stations traditionnelles ne peuvent plus être réalisées, la plate-forme brise-glace « Severny Polyus » a marqué le début d’une nouvelle ère.
Au lieu d’attacher des émetteurs satellites aux ours polaires à l’aide de colliers, les experts ont trouvé des moyens d’attacher les émetteurs à la fourrure, ce qui signifie moins de stress pour les animaux.
La mise à l’eau d’un ROV sous-marin offre une vue précise soubassements de la plus grande plateforme flottante de glace du monde.
Un nouveau réseau innovant de stations météorologiques automatiques, créé par des Suisses et des Belges, pourrait aider à obtenir des données climatiques plus précises depuis les régions antarctiques.
Les décharges derrière la station, c’est du passé ! Le Traité sur l’Antarctique de 1959 fixe des règles sur le traitement des déchets pour les nations effectuant de la recherche en Antarctique.
En Antarctique, des échantillons de glace uniques ont été récupérés à une profondeur de 3,5 km. La carotte de la couche de glace au-dessus du lac Vostok a plus d’un million d’années.
La carte interactive aidera à planifier les expéditions et à améliorer la recherche antarctique dans la zone de glace de mer.