Novatek pourrait arrêter la production d’Arctic LNG-2
Novatek a fortement réduit la production de gaz naturel liquéfié dans le cadre de son projet Arctic LNG-2. La raison de cette décision en est le manque d’entrepôts et de navires.
Novatek a fortement réduit la production de gaz naturel liquéfié dans le cadre de son projet Arctic LNG-2. La raison de cette décision en est le manque d’entrepôts et de navires.
En déplacement au Groenland et aux îles Féroé, la plus haute représentante de la Commission européenne remet l’Arctique à l’agenda politique.
L’installation sur la péninsule de Gydan est le deuxième grand projet de Novatek et est décisive pour l’objectif de la Russie d’augmenter sa production de GNL jusqu’à 100 millions de tonnes.
Malgré une série de sanctions, le projet Arctic LNG 2 a vu le jour avec un premier train de production opérationnel. Cependant, ses performances sont inférieures au but initial.
L’exploration pétrolière en mer de Barents se poursuit avec la délivrance de huit nouvelles licences par la Norvège. Pendant que Greenpeace et les Young Friends of the Earth remportent une bataille juridique contre l’État.
La Norvège vient d’ouvrir ses fonds marins à l’exploitation minière sur une zone s’étendait du Svalbard à l’île Jan Mayen.
Selon le journal japonais Sankei, Mitsui a décidé de retirer ses employés du projet russe Arctic GNL 2.
Une fondation pour le financement de projets de recherche d’excellence autour de la cryosphère verra le jour ce soir à Paris nourrissant l’espoir de sauver les pôles.
Les communautés de l’Arctique se développent et ont besoin d’énergie. L’énergie décarbonée stimule l’intérêt des décideurs politiques et de certains investisseurs ou entreprises. Ces sujets ont monopolisé les débats autour de l’énergie lors de l’Arctic Circle Assembly.
C’est la fin du charbon : il y a un peu plus de 24 heures, une ère s’est achevée à Longyearbyen. Pendant des décennies, la centrale électrique a fourni de l’électricité et de la chaleur à partir du propre charbon de Svalbard.
En raison des sanctions occidentales, la Russie s’est davantage concentrée sur les livraisons aux clients asiatiques. De plus en plus de bateaux sans certification glace sont utilisés à cet effet.
Plus de 300 panneaux solaires vont fournir du courant à une ancienne station de radio au Svalbard. Un test grandeur nature alors que le Svalbard met en place sa transition énergétique.
Un rapport vient d’établir que les principales mines de matières premières critiques, essentielles aux pays de l’UE, se trouvent au Groenland.
Un accord permettant aux Inuvialuit d’administrer les ressources offshore de pétrole et de gaz de leurs territoires vient d’être signé.
Dans les années 1970, le géographe Bent Hasholt souhaitait mener des recherches utiles à la société. Il a donc commencé à calculer les précipitations pendant son temps libre.
Le bureau de design « Malakhit » travaille sur un projet de module énergétique submersible (SEM) pour l’Arctique, dont la puissance nominale sera de 2 x 10 MW.
Le Svalbard est confronté au changement à de multiples niveaux. Une étude ethnologique analysant ce processus et les enjeux qui l’accompagnent vient d’être publiée.
La rupture d’un oléoduc dans le champ de Ioujno-Ochskoïe pourrait entraîner le déversement de près de 1 000 mètres cubes de pétrole dans la rivière Kolva. Les travaux de nettoyage s’avèrent difficiles.
NOVATEK a cherché des solutions, l’entreprise américaine Baker Hughes refusant de fournir les turbines à gaz nécessaires à la liquéfaction du gaz.
L’élément le plus léger semble avoir un grand avenir dans l’industrie lourde de la région
Après avoir acquis les droits d’exploitation du charbon au Spitzberg il y a plus d’un siècle, la Russie déclare qu’elle réduira la production de charbon au minimum nécessaire pour assurer l’approvisionnement du Svalbard.
Le fabricant néerlandais d’éoliennes EWT et Antarctica New Zealand vont installer trois turbines DW54X-1MW avec une hauteur de moyeu de 40 mètres sur l’île de Ross.
Les sanctions ont interdit l’importation de pétrole russe de l’Arctique vers l’espace de l’UE. La Chine et l’Inde s’engouffrent désormais dans la brèche, mais cela signifie des transports plus difficiles.
Malgré la volonté européenne de se sevrer du gaz russe, un rapport montre que cette addiction s’est déportée des gazoducs vers le transport maritime de GNL et surtout pour la France.