Les baleines ne vont pas réparer le climat à notre place
Après tout, les baleines ne pourront probablement pas nous aider à réparer les dégâts que nous avons causés au climat.
Après tout, les baleines ne pourront probablement pas nous aider à réparer les dégâts que nous avons causés au climat.
Selon une récente parution, l’Arctique pourrait être « libre de glace » d’ici à 2030. Mais cela ne veut pas dire qu’il n’y aura plus de glace du tout, du moins pas au début.
Même si les pays atteignent l’objectif de réduction de l’augmentation des températures fixé par l’accord de Paris, cela pourrait ne pas suffire à empêcher certaines nations de subir des dommages catastrophiques causés par la fonte de la calotte glaciaire
Le réchauffement climatique entraîne une dégradation plus rapide que prévu du mécanisme qui fournit des eaux riches en oxygène aux océans de la planète.
Les données centenaires de l’expédition d’Alfred Wegener au Groenland aident les scientifiques à mieux comprendre le changement climatique
L’hibernation des écureuils arctiques femelles en Alaska est plus courte qu’auparavant, mais les mâles ne les suivent pas, ce qui pose des problèmes pour la reproduction.
Le Protocole de Montréal pour la protection de la couche d’ozone, adopté en 1987, retarde de près de 15 ans l’apparition du premier été sans glace dans l’Arctique.
La réduction de l’empreinte carbone de la recherche en Antarctique pourrait passer par une diminution de la vitesse des navires et une coopération internationale quant à l’utilisation des moyens logistiques.
La goélette Mauritius de Pacifique a dû stopper son expédition dans l’Arctique après un problème d’assurance. L’association affrète un nouveau bateau pour poursuivre ses projets scientifiques et artistiques.
La quille dans l’eau et le vent dans les voiles, les IMOCA de la course au large pourraient être les pièces manquantes du comptage des molécules de CO2 qui passent de l’atmosphère à la mer et vice versa.
La glace de mer de l’Antarctique est loin de réagir aussi fortement au réchauffement global que celle de l’Arctique.
Un rapport publié par l’ESA indique que la perte de glace du Groenland et de l’Antarctique a quintuplé depuis les années 1990 et est responsable d’un quart de l’élévation du niveau de la mer.
Les routes maritimes qui s’ouvrent à travers l’Arctique permettent de gagner du temps et de l’argent, mais les brouillards de plus en plus fréquents dus à la perte de glace de mer ralentissent la progression.
Selon un rapport de l’Union européenne du mois d’avril dernier, en 2022 le Groenland a vécu son mois de septembre le plus chaud et le plus humide de l’histoire des enregistrements météorologiques.
L’Antarctique s’est réchauffé et le reste du monde a également ressenti les effets des vêlages de la dernière période glaciaire, sauf au Groenland où rien n’a changé.
Quand on regarde les larves de poissons qui dérivent dans les courants de la mer de Tchouktches, les espèces purement arctiques laissent la place à des espèces venues du Pacifique.
En avril, une équipe internationale de chercheurs a « sauvé » environ 300 ans d’histoire climatique d’un glacier du Svalbard.
Grâce à leurs recherches sur le glacier Thwaites, deux scientifiques font leur entrée dans la liste des 100 personnes les plus renommées du TIME. Le Dr Irene Quaile se demande si c’est le signe d’un changement de mentalité.
Les calottes glaciaires peuvent s’effondrer beaucoup plus rapidement qu’on ne le pensait jusqu’à présent et contribuer à l’élévation du niveau des mers.
Alors que l’on peine à réduire nos émissions de gaz à effet de serre, des scientifiques norvégiens viennent de découvrir une nouvelle source naturelle de méthane qui diffuse depuis les sous-sols de l’océan Arctique.
Selon des chercheurs australiens, la circulation océanique profonde pourrait être sur le point de s’effondrer, avec des conséquences importantes pour les écosystèmes marins et le climat mondial.
Une délégation de haut niveau du Groenland visite la Suisse afin d’approfondir la coopération dans le domaine de la protection contre les catastrophes naturelles et de la recherche.
Depuis plusieurs jours, les thermomètres de la station Amundsen-Scott au pôle Sud affichent des températures bien supérieures à la normale, et on parle déjà d’une vague de chaleur.
De fréquentes petites ruptures et une augmentation de la vitesse d’écoulement annonçaient l’effondrement de Larsen-B, selon une nouvelle étude.